danse traditionnelle bafang

C’est donc toute la problématique de la société Bamiléké à travers le contexte mortuaire qui se détermine dans l’édification des pratiques et des rites d’exhumations. Par exemple, un planteur de médiocre réputation, qui postulerait la responsabilité d’une fonction sociale importante, se verrait accusé de « faire de la politique ». Ceux qui se promènent. Cela dit, les conceptions mortuaires sont extrêmement complexes et variées[21] . Cette place est généralement précédée d’une porte monumentale avec un toit couvert de paille. Cette action consiste à se rendre chez les membres influents et à leur offrir des cadeaux précis en fonction de leur statut. La vérité brute sur les origines et l’anthropologie du peuple bamiléké a reposé d’abord sur la tradition orale, résultante de récits étiologiques, historiques, de souvenirs personnels, de commentaires explicatifs, de témoignages, de notes occasionnelles, de proverbes, de l’onomastique (noms de lieux et de personnes), de chansons populaires, de codes et symboles, et d’assertions et autres informations d’ordre généalogique et dynastique. Les religions importées et tous leurs complices ont tenté en vain de le couvrir de boue dans le but de ternir son éclat afin de mieux imposer leur point de vue. C’est cette dernière qui est le plus souvent retenue. Son mari ne vient qu’en visite privée dans sa concession, d’où l’adage : « la mafo n’est la femme de personne… ses enfants n’appartiennent qu’au mari ».Elle bénéficie entre autre d’un statut quasi masculin, et, en l’absence du chef, il est arrivé que le commandement de la chefferie ait été effectivement exercé par une mafo autoritaire. BANGOU Le vrai nom de ce village tel que ses habitants et ses voisins l’appellent, est Niep. La construction sociale du corps et les représentations relatives à la mort. Pourquoi les gouvernements tunisiens, algériens et marocains font de l’arabisation la clé de voûte de leur politique pour leur pays ? Ils appelaient leur pays, « Haut pays » et « Bas-Pays » ou Kemet pour les égyptologues modernes. Page 9. Tout d’abord, l’accès au statut d’ancêtre est soumis à certaines conditions. De nos jours, se présenter devant la porte de celui avec qui on a un différend signifie que l’on demande l’apaisement. contaminé dans le vol Air France du 17 mars 2020. En outre, des rapprochements linguistiques ont étayé la thèse de la littérature orale sur la trajectoire des Bamilékés au cours de leurs mouvements migratoires depuis les berges du Nil [1]. L’analyse des habitudes collectives des Bamiléké dans le contexte mortuaire ne permettrait-elle pas d’apposer un regard différent quant à l’étude des gestes d’accompagnement significatifs à la fois purificatoires et libératoires qui entourent cette séquence mystérieuse et inéluctable du corps dans le passage de la vie à la mort ? Dans son pays, il commence à fréquenter le marché, empaqueté sur le dos de sa mère. Le mot « Bamiléké » est une appellation moderne, pour faciliter la lecture dans les langues occidentales. Une cérémonie particulière est aussi prévue pour les enfants de Nwala, lesquels sont les Serviteurs du Roi. Noël 2020. Le haut chez les égyptiens anciens était le bas (dans l’entendement actuel), donc le Sud, et le bas désignait le haut. BANFELOUK (Mvilooh) Vhi est un quartier du village Bafang. – Les fruits tels que le fruit noir, le safout ou prune, la kola, la noix de palme et les condiments. Il faut par conséquent procréer au maximum pour pouvoir payer sa dette de reconnaissance aux multiples relations, il est de bonne convenance pour l’ami ou le membre de la famille ainsi distingué d’offrir à la maman de l’enfant du sel, de l’huile, du bois de chauffage ou tout autre cadeau de son choix, l’homonyme doit à l’avenir au bébé et à sa famille beaucoup d’affection et de considération. Celles-ci ont différents statuts ; nous avons les forêts sacrées familiales : il s’agit généralement des entrées ainsi que des bas-fonds divinisés des concessions des grands notables ; ce sont les membres de la famille et les voisins immédiats qui y viennent célébrer des rites. Même pendant l’exercice de leurs fonctions, ils se contentent des noms génériques comme « Wala » (ministre) « Kem dje » (administrateur de région), « Defo » (celui qui veille sur le bébé prince) ou enfin « Tabue » (chambellan).C’est au moment de prendre leur retraite que le roi leur donne un titre suivi d’un tout nouveau nom, un ancien « wala » deviendra par exemple « Sa’a Fotso » ou « Sa’a Fossouo » et plus jamais personne ne l’appellera par le nom qu’il portait bébé, si tant est qu’il s’en souvienne lui-même. Ces conditions semblent effectivement être généralisables, nous nous y intéresserons de manière plus différenciée par la suite. C’est lui par conséquent qui les donne en mariage ; ses fils ont leurs associations particulière (ngnie) qui regroupe également leur descendance mâle et tient ses assises à la chefferie. ou encore le vin de palme selon ses moyens et ses envies. Le marché commence au lever du soleil, vers 6 heures du matin. Rappelons que, à l’origine, il s’agissait de Prochaines formations. en Sociologie : Genre et Autopsie Traditionnelle en Pays Bamiléké.v Sur la plage : Mœurs et coutumes balnéaires aux XIXe et XXe siècles, éditions Payot, 2002v Thomas, (L.V) : Anthropologie de la mort, Payot, Paris, 1976v Thomas, (L.V) : Cinq essais sur la mort africaine, Université de Dakar, 1968v Toukam Dieudonné in Histoire et anthropologie du peuple bamiléké. Il devient un homme dès qu’il peut faire ce que le père fait. L’accès au statut ancestral exige, en plus, une consécration, bien souvent ritualisée, que nous détaillons dans nos travaux de recherches.Le processus de célébration du corps dans le contexte mortuaire traditionnel, revient à honorer le défunt. BAYANGAM (Yonguem) qui a vu les sauterelles les premiers.BAHAM (homme qui presse) et BAWANG (wang) sont des chefferies sœurs. 2. D’ où leur nom de Menkombou. Page 9. Leur disparition est dite féconde, pour reprendre l’expression de l’ethnologue français Louis-Vincent Thomas[18] selon laquelle: « … la disparition en Afrique noire fait partie de l’ordre des choses »[19] . Dès lors, l’essence de l’humanité est indépendante de propriétés physiques car, l’âme n’ayant aucune manifestation matérielle, sa disjonction du corps ne peut être observé ni déterminé objectivement. Le premier chef de ce groupement vint de Dschang. Chez les Bamilékés, la jeune fille se marie selon la même procédure que sa mère. L’histoire renseigne que le Ndop provient de la région de l’Adamaoua où les tisserands Tikar l’échangeaient contre la Kola. 2008, 256p. – Les noms dictés par le hasard du calendrier ou les évènements particuliers : Un enfant de sexe féminin né le « dzedze », jour de la semaine réservé à la réunion hebdomadaire du puissant groupe de « Djie » (principal groupe religieux du groupement) portera le nom de « Djuidje » ou l’épouse de Djie. Les Vhi et les Bafang se livraient habituellement les guerres, jusq´à ce que les Vhi capitulent et devinrent esclaves des Bafang. Au programme, repas, chants et danses. Il y a des rites que l’on célèbre seulement aux abords de la forêt sacrée. En effet, les hommes et les femmes s’en vont au marché pour prendre des nouvelles, se retrouver, parler entre eux. De l’état corporel, il passe à l’état spirituel. Quant à la signification littérale du mot « Bamiléké » son par son, elle est la suivante : BA’ : les, ceux de… (pour designer l’origine géographique de quelqu’un) Mieh : les frères Lah : le pays, la région Ke’ : haut, le haut, ce qui est en haut d’un endroit, une région, d’une terre. Pendant cette période, on l’enduit d’une pâte végétale rouge appelée « ppe » qui nourrit les cellules et accélère la croissance. BAMOUGOUM : A l’origine, ce sont quatre frères de même père qui se sont partagé le terrain. Autres villages de la NDE : Batchingou, Balengou, Bangang Fokam, Bazou, Bakong, Bahouoc, Bassamba, Badounga, Maha, Bagnou. De nombreux villages Bamiléké étaient impliqués dans la traite des esclaves : Les villages de la périphérie Sud du plateau : Bandounga, Bazou, Batcha, Bana,…Bagangté, qui allait vendre à Bazou Bangoulap, Fondjomekwet, Bamendjou. Il était même considéré comme un dieu du village, et à ce titre, il importait qu’on l’entoure d’un mythe d’immortalité. Etes-vous de son avis? En dehors de ces rites, la séparation entre le monde des vivants et celui des morts est nette : à chacun sa place. Les lieux sacrés sont tout simplement ceux consacrés à Dieu, les lieux où l’on va méditer et prier le « SI »; ces lieux permettent alors aux bamilékés d’être en relation directe avec lui. Le 1er roi de bafang s’appelait DJATCHOUA (1645-1685), NGANJUI Gaston, le 11 ème et depuis 1962 KAMGA NGANJUI RENE, le 12ème. Il existe des anecdotes chez les bamiléké portant sur certains êtres qui se transforment la nuit en espèce animale pour s’introduire dans des chaumières afin de secourir les malades, Certains Kamsi et chirurgiens traditionnels détenteur du gène y recourent pour entrer en contact avec leurs malades afin de les soulager de leurs douleurs, ou détruire les ennemis ou les mauvaises personnes. Le corps en tant que matériel humain est confondu avec l’esprit invisible. Les différents chefs : Tetapoua-(Foyonta)- Youta- Tegouatioc- Ngouana -Tiognin.Les Balessing sont de même famille que les Bamendou, les batouni et les bagam. Le revers de la médaille, c’est qu’elles encourent des peines graves en cas de fautes. La chefferie Babouantou est située à 15 km environ au Nord-Est de Bafang et dans l’arrondissement de Bandja. Fe’efe’e; Toni Toni; Musique; Danse Traditionnelle; Education au Milieu; Divers Workshops; Loisirs et expression corporelle. En général, le statut des enfants du chef est caractérisé par l’immunité dont ils jouissent dans le groupement. Le but du mariage est aussi d’avoir[12] un compagnon attentionné et agréable à vivre, une femme docile et généreuse, un mari fort et respecté. Il faut noter que c’est le crâne d’une personne ayant fait ou accompli de grandes réalisations qui est déterré. BANFELOUK (Mvilooh) Vhi est un quartier du village Bafang. N'oubliez pas que les bals existent avant tout pour partager la danse de façon conviviale, et qu'il n'est pas indispensable d'être un … [44] Op.cit. Les échanges étaient en effet les seuls moyens de se procurer les biens qu’on ne produisait pas. Chez les Bamiléké, la réussite économique individuelle ne suffit pas à elle seule à assurer le prestige social. Le « souop » et les princes et princesses. – Le piège : Il consiste à attraper la jeune fille. Cette société est subdivisée en groupements dans lesquels se retrouvent les quartiers et sous quartiers, les chefferies et sous chefferies; tout ceci selon un ordre précis et bien défini, dans lequel chacun a son rôle à jouer et reste à sa place sans toutefois s’interférer dans celui de son voisin. Le Café robusta et le Cacao sont les principales cultures industrielles de cette localitéBABOUANTOU. BAMEKA Meka : Enfant de Ka (car le premier chef s’appelait Ka) qui se promène. ), 1981v Dongmo, J.-L. : Le dynamisme bamiléké (Cameroun). Dans les sociétés occidentales, la mort est vue, par les croyants, comme la séparation de l’âme et du corps physique. Les maghrébins flippent : Les filles maghrébines sortiraient avec des Noirs. C’est à ce moment que l’on va discuter de la dot et indiquer au futur marié quels membres de la famille il doit officiellement rencontrer. Si plus tard l’enfant souffrait d’un mal chronique, les oracles peuvent conclure dans leur diagnostic qu’il boude le nom inapproprié qu’il porte, il ne reste plus aux parents qu’à revenir sur leur mauvaise décision s’ils tiennent à la vie du fruit de leur amour. Un enfant du chef Vhi le nommé Nga’bi n´a pas voulu accepter ce statut et s´est dirigé vers Lok où il devint chef. Le gène « Tok/Tioum » à l’origine du pouvoir surnaturel, se fixerait soit sur le foie soit sur le cordon ombilical. Chaque nom est chargé de puissance susceptible d’influer sur le tempérament de celui qui le porte, les parents caressent le rêve que leur progéniture hérite des qualités de leur homonyme, on comprend pourquoi certains noms de valence négative connaissent très peu de succès et finissent même par disparaître, à l’inverse, les noms ayant appartenus aux rois et aux personnages illustres font fureur. A l’époque, la forêt sacrée jouait le rôle de l’église, des temples que nous avons aujourd’hui. En contrepartie, après un certain temps, ils pouvaient recevoir en titre de gratification par leur maître soit une femme, soit une petite fortune pour continuer à leur propre compte ; les jeunes recevaient généralement des terres où ils s’installaient.M. Donc une femme épouse une famille et non un homme, mais elle vivra maritalement avec un seul membre de cette famille. Bien que Foladin fut le premier habitant de Bamendou, c´est son serviteur Ka’tsie un habile chasseur qui fonda le village. Cette pâte serait plus efficace que les masques d’argile utilisés par les femmes aujourd’hui pour les visages. Il est interdit de chasser ces singes et ces oiseaux. Après les déclarations d’innocence jurées par les parties en présence, celle – ci se dirigeait vers le menteur et sa culpabilité était ainsi consommée. regrouper les ressortissants des trois villages DJESSAH-KOH-POUANGO DE BANKA. Il existe cinq sous-groupes dialectaux bamilékés : le ghom’a-lah (grande Mifi); le medumba (département du Ndé); le Fè-fèè (Haut-Nkam); le yemba (Menoua) et le ngombaa (Bamboutos). Ces rites sont de plus en plus perceptibles chez les femmes qui doivent toujours justifier de leur innocence. L., 1981, Le dynamisme bamiléké, CEPER, Yaoundé,[16] DONGMO 1. Le chef tire d’eux, tous les avantages qu’’un père peut tirer du mariage de ses propres enfants. En raison de sa situation privilégiée, le chef a droit au respect et au dévouement de ses sujets (prestation en nature comme les constructions des cases de la chefferie et en espèces, pour les membres des différentes sociétés coutumières). BANGANG (qui aime la vérité) Bangang est un important groupement du département de Bamboutos. Le Ndop : étoffe de rassemblement. BATCHAM veut dire ” Hospitalier “, souvent pendant des guerres des gens allaient se réfugier à Batcham. 19/12/2020 au 24/12/2020. Elle enveloppe des représentations culturelles, des attentes religieuses, une zone limite d’expérience qui inquiète l’existence. Autres villages de la MENOUA : Baleveng, Bafou, Fokoue, Fomopea, Fotomena, Fontsa-Toula, Santchou, Fombap, Fondemera, Foreke, Fossong Wetcheng, Fotetsa, Fongo Ndeng, Foto, Foto Tongo, Fossong Elelem, Chefferies supérieurs ou principaux groupements BAMBOUTOS. Les cercles, les losanges, les lignes et les gongs sont autant de figures qui donnent au Ndop le prestige qui est le sien. La croyance en cette deuxième étape de vénération du corps est une particularité locale. Lorsqu’un parent veut donner sa bénédiction à son enfant, il les mâche et les recrache sur ses mains avant de les imposer sur ce dernier. – Les autres cas : Quand tous les cas spéciaux sont réglés, le papa gère à son gré les noms des enfants à venir. Anthropologie de la mort, Payot, Paris, 1976, P.369[28] Thomas (L.V). Chacune des veuves place entre les jambes un morceau de bois ou une petite calebasse vide. C’est le plus grand groupe ethnique du pays. Le fait que la chefferie soit proche des marchés était une garantie de sécurité, car les serviteurs qui surveillent la chefferie pouvaient intervenir sur le marché pour assurer la police. Une fille commence à devenir femme quand ses seins commencent à prendre forme. Celui-ci, existe chez les bamilékés bien avant l’avènement du christianisme. Dans cette partie, nous nous attèlerons à présenter d’une part les principales autorités politiques de la société bamilékés, suivies de leurs rôles respectifs dans la société. Ainsi, lorsque le futur chef entre au la’akam, certaines jeunes filles le suivent. Si la femme accouche alors qu’elle est dans un magasin, c’est pareil. En dehors des règles coutumières que nul ne doit violer, ils ont toujours raison et ne peuvent être choisis comme serviteurs ; ils sont exclus des réquisitions de mains d’œuvre tout comme leur descendance mâle. missionnaire anglais auprès d’anciens d’esclaves libérés à bord de bateaux négriers par des croiseurs britanniques et installés à Freetown en Sierra Léone.v La Mort africaine : idéologie funéraire en Afrique noire, Payot, 1982v M. Moisel: Das Hinterland der Kameruner Nordbahn (Mitteilungen aus den deutschen Gebieten, band XXV), Berlin, Bâle, 1912v M. Sournies : L’émigration Bamiléké dans le Mungo, Mémoire de stage de l’Ecole Normale de la France d’Outre-mer, Paris 1954, Page 41, ANSOM, PARIS 7ème.v Microsoft® Études 2008 : « Religion»v Mveng, E. : Histoire du Cameroun. Le père le presse d’y construire une case. Vol. Ce sont deux mondes distincts et concrets qui mettent en place une série de rapports entre défunts, vivants et ancêtres. C’est le cas des fous (Mbwe), des adolescents non-initiés, des célibataires, des personnes qui décèdent de mauvaise mort. Comme denrées alimentaires : – Le maïs, l’arachide, l’igname (en particulier l’igname blanc « Nkououbaya »), le plantain, la banane, produits à Bafoussam, Bandjoun, Baleng, Bapi, Bamougoum, ainsi que d’autres villages des départements de la Mifi, Menoua, et Bambouto.Ø Les cultures sèches (haricots, pois, patate douce, etc. Elle est l’une des nombreuses chefferies que compte le Bam, s’étend du 5°au 6° degré de latitude Nord, et du 10° au 12° degré de longitude Est. Après ce rite, la femme doit préparer des mets pour sa famille maternelle afin de la remercier pour l’éducation et la santé qu’elle a reçue et qui lui ont permis de mettre au Monde une nouvelle vie. Ils sont qualifiés ainsi parce qu’ils permettent d’entrer en contact avec Dieu. Ils sont bel et bien vivants, et à partir du monde spirituel ou ils sont, ils continuent même de s’intéresser à nous, leurs proches et descendants encore sur terre. modifier Les Bassa sont un peuple bantou d' Afrique centrale vivant au Cameroun , dans les régions du Centre , du Littoral et du Sud. Il est aussi peuplé des gens venus de Fongo-Tongo et de Badoundja (quartier Mvú).BAMENA En Bamiléke Meno ou Meneu, fut fondé par un chasseur venu de Baloum( dans la Menoua). Ce sont donc les femmes qui sont responsables de la qualité de la succession de leur mari. Les Bamete furent les seuls á soulever et à déplacer la pierre. BAFANG (Fa’) vient de mfat (frère) et fut mal compris par le colon. l’ Harmattan.2010. Toutefois, ces différences n’empêchent pas de retrouver des éléments présents dans toutes les chefferies et villages bamilékés. Dans la société Bamiléké, c’est la phase importante du rituel funéraire. Le Nkeng, comme la queue de cheval et le Ndop est présent dans toutes les cérémonies. Danse folklorique , folklore , danse folk , danse du monde , danse trad , danse collective , danse populaire ? Lorsqu’une fille naît en présence d’un visiteur, c’est un présage. La famille se comprend ici au sens de la large famille africaine contrairement à l’assertion biblique «L’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme» (Genèse 3, verset 24), c’est la femme qui quitte ses parents pour rejoindre la famille de son époux. Les marchés des chefferies se tenaient sur la grande place où se pratiquaient habituellement les grandes coutumières. Une disparition naturelle établie selon les normes de la tradition.• Le cas d’une personne âgée morte après avoir accompli sa mission sur terre : procréer, respecté et accompli les devoirs prescrits par la coutume. La transformation qu’il subit correspond à une renaissance, d’où les différentes représentations, pratiques et vénérations inhabituelles. De plus, c’est un style de danse qui se caractérise par son accessibilité et sa relative facilité à être mis en place. Quant à la fille du chef, elle ne peut être vendue quel que soit la faute commise ; elle ne peut qu’être vendue à son père. – La catégorisation du corps dans le contexte mortuaire[31] . La préservation des Crânes comme reliques figure à notre avis parmi les plus beaux joyaux de la spiritualité bamiléké.

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